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Paroles de Messins !

28 octobre 2018

AMAZON TUE L'EMPLOI

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 Les élus de Metz Metropole à 4 exceptions ont voté pour la créatyion d'un entrepot amazon sur la base de Frescaty  , au nom dela création d'emploi, sont ils ignares ou sont ils cyniques nous pulions ici les ExTRAITS d'un article de 2012 Publié dans Marianne:

contexte :  Arnaud Montebourg s'était déplacé en Bourgogne pour "inaugurer " une implantation amazon

Le développement croissant des activités d’Amazon en France n’augure rien de bon pour l’emploi et « la culture », chers à Arnaud Montebourg. Car, derrière les emplois crées par Amazon qui, rappelons-le, bénéficiera d’aides publiques en échange de sa bienveillance, il y a la face cachée. Celle d’une entreprise que rien n’arrête dans sa course à l’hégémonie.

La société créée par l’entrepreneur Américain, Jeff Bezos, vend aujourd'hui tous types de produits, de la literie aux vêtements d'enfants en passant par les disques, les DVD et les produits informatiques. Mais son activité principale demeure la vente de livres en ligne. Et à ce jeu là, Amazon écrase tout sur son passage. Aux Etats-Unis, où le premier site est mis en ligne en 1995, les acteurs de l’industrie du livre savent de quoi il retourne. A titre d’exemple, la grande chaîne américaine Borders a fermé plus de 200 grandes surfaces en 2010 avant de faire faillite. En France, c’est la librairie en ligne française Bibliosurf qui a jeté l’éponge, cinq ans après son lancement, fin 2011. En cause : les prix pratiqués par Amazon.

Désormais, se sont les libraires qui se sentent menacés. Ce sentiment tient à un constat simple : les librairies en ligne se sont emparées de plus de 11 % du marché du livre français en 2010 et s'imposent de plus en plus dans le circuit de l'occasion; or les professionnels considèrent qu'Amazon totalise 80% au moins du chiffre d'affaires de la vente en ligne. En intégrant les frais de livraison dans le prix de vente et en proposant à ses clients systématiquement des livres d'occasion à prix cassés  Amazon pratique selon eux une concurrence déloyale. Beaucoup de librairies ont ainsi dû mettre la clé sous la porte ces dernières années, comme le laisse entendre Vincent Monadé, président du MOTif, dans une tribune publiée en 2011, intitulée « Amazon m’a tuer ». Il y aurait danger à ce que les librairies disparaissent les unes après les autres de nos villes car, en effet, celles-ci sont indispensables à la diffusion du livre et participent à faire découvrir de nouveaux auteurs ainsi qu'une littérature exigeante, soigneusement selectionnée par les libraires eux-mêmes.

L’autre crainte des libraires: le développement du livre numérique, domaine dans lequel Amazon pourrait détenir une position quasi monopolistique, grâce notamment aux procédures en cours aux Etats-Unis pour soupçons d’entente illégale entre les grands éditeurs américains et le concurrent direct d’Amazon dans la vente en ligne, Apple. Ces soupçons reposent sur des contrats de mandat que les éditeurs ont fait signer en 2010 aux revendeurs de livre numérique afin de réguler le marché. S’ils sont avérés, Amazon pourrait reprendre sa guerre des prix…

Sa situation de monopole pourrait aussi être favorisée par sa liseuse Kindle. L’utilisation de la liseuse d’Amazon et le téléchargement de livre numérique restent encore limités en France - moins de 1 % de livres téléchargés en 2011 -. En revanche, outre-Atlantique, le Kindle fait un tabac et séduit d’abord de gros lecteurs dont le budget en librairie s’est effondré. D’autre part, comme le souligne Livres Hebdo, daté de mai 2012, « en cassant les prix (…) et en ajoutant un système de contrôle de droits propre à son Kindle, Amazon s’est constitué à une vitesse foudroyante un vrai marché fermé et exclusif. » Cela signifie qu’il est impossible de lire des ebooks sur une autre liseuse que celle d’Amazon, tout comme il n’est pas possible de lire sur le Kindle des livres numériques achetés sur un autre site …

Bien que des résistances culturelles persistent en France sur l’usage des livres numériques, ce marché risque de se développer plus vite qu’il n’y paraît. Et Amazon se place déjà en pôle position. Si le marché venait à se développer, nul doute qu’Amazon occuperait tout le terrain, déstabilisant le secteur et en premier lieu les libraires et les éditeurs.

A ces diverses éléments s’ajoute un autre qui aurait dû conduire M. Montebourg à plus de discrétion dans l’expression de son enthousiasme. En effet, Amazon n’est pas connu pour être un exemple en matière fiscale. Pour ses activités européennes, l’entreprise a en effet élu domicile au Luxembourg. Une combine qui lui permet de bénéficier d’un impôt sur les sociétés allégé  : 21,8% là-bas contre les 33,3% en vigueur en France.
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25 octobre 2016

INDIGNITE !!! 24 octobre Invités par l’AIEM, deux

INDIGNITE  !!!

24 octobre 

 

Invités par l’AIEM, deux associations –la Banque Alimentaire et le Secours populaire français- engagées dans l’aide aux occupants du campement Blidasont allés à leur rencontre.

Nous vous livrons leur témoignage :

Lundi matin, sous une pluie insistante, nous traversons le campement dans la boue glissante à la rencontre des réfugiés. L’espace restreint entre les tentes permet difficilement le passage.

Les tentes sont inondées et des couvertures macèrent dans l’eau boueuse. Les « habitants » trempés et grelottant viennent à notre rencontre.

Beaucoup d’immondices et de poubelles débordantes (non ramassées depuis 4 jours !) jonchent le sol.

Les sanitaires, très limités, sont dans un état indescriptible, ignoble, abominable – vu leur nombre très insuffisant et l’absence d’entretien.

Les toilettes sont bouchées et très peu d’eau coule aux robinets. Il n’y a qu’une douche pour 3 à 400 personnes !

Aucune possibilité de faire chauffer la nourriture. Certaines familles ont « bricolé » un barbecue de fortune ; les autres mangent froid…

Les enfants jusqu’à 11 ans sont maintenant apparemment scolarisés et peuvent ainsi avoir un repas chaud et équilibré.

Nous avons vu de jeunes enfants, des bébés de quelques mois couchés dans des couvertures humides. Un père de famille restait allongé près de son bébé pour le réchauffer… Tous ces petits sont en réel danger…

Nous parlons longuement avec des personnes en grande détresse physique et morale, des mamans au bord des larmes ; mais nous sommes toujours en présence de personnes très calmes malgré cette misère, très souriantes et gentilles, nous remerciant très chaleureusement bien que nous ne leur apportions rien. Des personnes pleines d’espoir…encore.

Nous parlons beaucoup de l’aide alimentaire, appréciée par tous mais insuffisante et qui ne touche probablement pas tout le monde. Le Secours populaire français souhaiterait être accompagné pour gérer au mieux l’efficacité et l’équité de la distribution.

 

Certains ont pu qualifier le campement de Blida de « petit Calais » mais les conditions de vie sont bien pires à Metz qu’à Calais.

Cet endroit est une honte pour tout le monde. Humainement, il est urgent de mettre fin à cette indignité !

 

 

Philippe LAMIRAND                                                               Marie-Françoise THULL

Banque Alimentaire de Moselle                                           Secours populaire français de Moselle

4 avril 2016

ERDOGAN

30 septembre 2015

A l'eau Dominique Gros !

 Monsieur le Maire de METZ  Dominique QUISAITTOUT prétend que confier la gestion de l'eau à un opérateur privé c'est un meilleur service pour les usagers . Lui il sait les autres sont des Cons  imbeciles . En fait il ne sait pas grand chose vas t'il signer une nouvelle concession au privé ? Si il signe il apportera la preuve que sa gauche est bien molle , et qu'il se situe juste à coté de ce Macron (vous avez celui qui parlant d'ouvrières les a traité d'illétrées )

La régie de l'eau de Besançon moins chère_2015_09_29

 

13 mars 2015

Deux ministres peuvent ils sauver le PS de Moselle ?

 

 

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Depuis un mois le parti dit socialiste fait campagne en défendant l’idée que la prochaine élection départementale serait uniquement locale. Cet argument justifierait l’alliance à droite effectuée par la fédération PS qui rassemble le centre et le front démocrate, mais aussi la disparition du logo et du nom socialiste sur les tracts, et enfin la couleur bleue libérale de leurs affiches. Soit !

Une telle stratégie permet d’éviter de parler des 3 000 emplois industriels encore perdus par notre département l’année dernière, du taux de chômage supérieur à la moyenne nationale malgré la perfusion luxembourgeoise, de l’intensité de pauvreté qui est la même en Moselle qu’en Seine Saint Denis.

Cette stratégie a l’inconvénient de forcer l’interrogation sur l’armement de la police municipale à Metz, surtout quand l’ensemble des candidats titulaires sont issus de la majorité. Elle pousse à s’interroger sur la co-gestion entre le PS et la droite au niveau local à Metz-Métropoles, mais aussi au département où des décisions idéologiques comme le fait d’avoir confié la gestion des collèges au privé ont été pris ensembles par le Ps et l’Ump.

Retournement de situation, pour cette dernière semaine de campagne, la Fédération Socialiste de Moselle a choisi de rendre le débat national en invitant deux ministres pour éteindre l’incendie. Bernard Cazeneuve à Metz Borny, pour parler on l’imagine de sécurité, et Stephane Le Foll, ministre de l’agriculture, porte parole du gouvernement, peut être pour évoquer la baisse de subventions aux agriculteurs biologiques.

Peu importe, il y a autant de raisons locales que nationales d’en vouloir au PS pour ses méfaits. La Moselle est un laboratoire du libéralisme gouvernemental, la terre de ses trahisons, dont Florange est le symbole. Ici, les frondeurs ont déjà rompu aves ces mauvaises pratiques pour rejoindre dans certains cantons les rangs du Front de Gauche. La seule opposition à Weiten et au Front National se trouve donc dans ces candidats qui défendent une Moselle Solidaire et écologique et une politique de conquête face aux logiques d’austérité.

 

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24 février 2015

Le Parti Socialiste messin à la remorque du Front National ?

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Télé Mirabelle dans le cadre de la campagne départementale a reçu Jean-Michel Toulouze candidat du PS et du centre. Au détour d'une question le journaliste s'est interrogé sur les tracts socialistes et sur leur ressemblance avec ceux du FN, était-ce du mauvais esprit ? 

"Nous venons de décider d'armer la police municipale: c'est une première étape. Il faut poursuivre les actions de sécurisation du quartier et de lutte contre toutes les nuisances."

"Le dispositif voisin vigileant devra être développé et aidé pour prévenir les cambriolage"

"Nous proposons l'installation de vidéo surveillance mobile pour prévenir les dérapage."

"Punir fermement est nécessaire."

Le sécurité n'est pas du ressort du Conseil Général et aucune de ces mesures ne lui incombent. Ces développements sont à but electoraliste et font suite à l'armement par le Maire de la police municipale après une demande faite par le Front National. Monsieur Gros se met d'ailleurs en scène sur son matériel de campagne entourré de policiers. La PS mosellan a perdu la tête, il ne porte aucun discours de transformation sociale, son seul but est d'armer l'ordre établi.

22 février 2015

Le Parti dit Socialiste sur les nerfs ?

PSMETZ

 Source RL

21 janvier 2015

Consultation sur la Gare de Vandières : à Metz la démocratie locale réservée au centre-ville

Carte proposée par France3.fr

La région Lorraine a choisi d'organiser une grande consultation citoyenne sur son projet de création d'une gare d'interconnexion TER-TGV à Vandières. Pour mettre en place cette initiative importante pour la démocratie locale, la ville de Metz a reçu une subvention de la part de la Région. Or, surprise, les journaux du 20 janvier nous apprennent que les 71 bureaux de vote messins se tiendront tous Place d'Armes, à l'Hôtel de Ville, grâce à la mobilisation du personnel municipal.

Les élus de la ville de Metz ont comme à leur habitude un grand sens de la démocratie. Quels moyens auront les habitants de MagnyBornyBellecroix ou bien encore Metz-Nord pour exprimer leurs opinions ? Dans une ville où les transports en commun le dimanche sont quasi inexistants et où ils coutent excessivement chers, la mairie de Metz et Dominique Gros ne se donnent aucun moyen de renforcer l'expression citoyenne. Était-il beaucoup plus compliqué d'ouvrir les mairies de quartier et de décentraliser les bureaux de vote ? Ne pouvait-on pas aller chercher les électeurs là où ils sont ?

Belle erreur de politique municipale pour une ville qui n'a plus rien de gauche. Il fallait effectuer un réel travail de mobilisation qui aurait permis de rapprocher les populations les plus éloignées de la citoyenneté de l'expression populaire. On ne peut se plaindre de l'abstention comme le font nos élus sans se donner les moyens de la combattre. La réflexion de Dominique Gros et de son équipe est-elle 'les habitants des quartiers ne prennent pas le train, il sera plus rentable d'interroger seulement la bourgeoisie du centre-ville" ? La démocratie se joue-t-elle uniquement sur le plan comptable puisque la mairie se félicite d'une opération blanche ? N'était-il pas possible de réduire les horaires d'ouverture des bureaux de vote (8h-18h) et de les répartir plus efficacement sur le territoire ? 

Metz Gare de Vandières

16 décembre 2014

Budget 2015 de la ville de Metz, vers l'austérité et au delà !

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Le budget 2015 de la ville de Metz sera encore débattu ce jeudi petit florilège des régressions de ce texte austéritaire:

La ville va supprimer plus de 100 postes de fonctionnaires municipaux pour ainsi limiter sa masse salariale. Suppression de postes d'agents d'accueil, de jardiniers, d'assistantes maternelles, de personnel de vie scolaire voilà la réalité de la gestion de Dominique Gros. Ce seront comme toujours les plus faibles et les plus précaires qui seront d'abord touchés par ces mesures.

A Metz, on casse les services municipaux pour réaliser de petits projets inutiles, comme le futur centre des congrès, et répondre aux exigences comptables d'un gouvernement qui confond bonne gestion et destruction des services publics de proximité.

La suite n'est pas très belle non plus : la mairie va tailler dans les dépenses culturelles et sportives. L'orchestre National de Lorraine, verra ses subventions fondre. Le soutien au centre de formation du FC Metz qui, quoi qu'on en pense, permet aux jeunes footballeurs de se former en recevant une éducation de qualité, sera amputé d'un tiers de sa subvention. L'aide à l'organisation de l'Open de Moselle sera elle tout simplement supprimée. Après l'affaire du cinéma, ces trois coupes sont symptomatiques d'une gestion de notre ville faite en dépit du bon sens. Elles touchent toutes les trois à des institutions qui font le rayonnement de Metz sur le grand Est et auprès de ses voisins.

Dans ce contexte que dire également de la baisse de dotations à Metz Metropole Développement. Même si cette agence est très opaque, son but, le développement économique du bassin messin est louable. Comment un Maire qui cherche à remodeler la géographie de sa ville en déménageant son centre économique d'ici à 5 ans, peut-il, dans le même temps, diminuer les subventions à l'outil principal qui lui servira à réaliser cet objectif ?

Dominique Gros va sûrement une nouvelle fois se draper dans son "c'est comme ça et pas autrement", ou dans le sempiternel "il n'y a pas d'alternative". Pour sûr, il trouvera l'augmentation du droit d'entrée à la piscine de 50 centimes pour les messins "pas si importante que ça", et ce alors même qu'en Moselle une personne sur sept est en situation de pauvreté. Finalement, la piscine pour les pauvres, les loisirs populaires ce n'est peut être pas si important,

Après la poudre aux yeux participatives du mois de septembre, voilà la réalité du budget de la ville : Toujours moins pour Metz et les Messins, toujours plus pour l'égo de son édile. Quand on n'a aucune vision de la cité, de sa cohésion et de ses habitants, on cherche à imposer sa marque par le coup de force et l'injustice. C'est tout ce qu'il reste à Dominique Gros.

http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2014/12/14/budget-de-la-ville-de-metz-le-grand-elagage

9 septembre 2014

SOUTIEN A FOUAD !

Souvent en désaccord avec Fouad, et alors !

Les idées sont faites pour la confrontation, le débat même violent. C'est la marque des régimes autoritaires d'utiliser la justice contre les mouvements sociaux. 40 000 euros pour avoir occupés avec de nombreux autres militants syndicaux les rails de la SNCF pendant le mouvement de lutte contre le CPE. 40 000 pour décourager les luttes futures. 40 000 euros, voilà l'épé de Damoclès qui pèsera sur les combats de demain. Il faut se battre contre toutes répressions et toutes criminalisations des mouvements sociaux.

En refusant une loi d'amnistie pour les participants à ces mouvements citoyens et syndicaux le pouvoir socialiste  se range comme à son habitude du côté des plus forts.

 

 

fouad

 

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